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A propos de « Doctors On Mission”

«Doctors on Mission » (DM) ou « Médecins en Mission » est une mission mise en place par les Docteurs Belges Dr. Rik Celie et Dr. Sabine De Weirdt.

A l’origine cette mission a démarré sous le nom de « Salud para Bolivia » lorsque ces médecins arrivèrent en Bolivie en 1990.  Plus tard elle  sera appelée « Face the Challenge » mais finalement le nom devient définitivement  « Doctors on Mission »

La grande inspiration pour cette mission date déjà de l’enfance du Dr Rik, lorsqu’il entendit les contes et histoires de l’œuvre et travail des Dr. Albert Schweitzer et Dr. David Livingstone.

La mission fournit des soins médicaux à travers la mise en place des équipes médicales locales qui voyagent d’une manière continue dans des régions où il y a un grand besoin de soins médicaux, et ce à l’intérieur de la Bolivie, Haïti et le Nord Pakistan.

La mission installe aussi des équipes médicales locales pour venir en aide dans les régions où se produisent des désastres et des catastrophes.  Les exemples sont nombreux … Haïti avec le tremblement de terre désastreux de 2010, ou encore lors de l’épidémie de choléra en 2011, tout comme le passage du cyclone Sandy en 2012 …  en Bolivie avec le tremblement de terre de 1998 (Aiquille), les inondations de l’Amazone Bolivienne en 2008 …  dans le Nord du Pakistan où inondations, famine et persécution  poursuivent des groupes minoritaires (p.e. lors des famines suite à d’énormes inondations depuis le Tibet).  Il y a environ 6 millions de Pakistanais dans cette région frontalière avec l’Afghanistan qui sont encore aujourd’hui persécutés et exploités par les autorités. Ce sont des groupes qui ne reçoivent ni médicaments, ni éducation ni nourriture par le gouvernement musulman.

Ces équipes médicales  viennent en aide principalement aux enfants (orphelins), jeunes mères ou des familles très pauvres.  Ce sont des régions avec une pauvreté extrême  qui sont en quelque sorte l’épicentre de leurs actions.

La mission « Doctors on Mission »  se distingue des autres organisations pour:

1 / Travailler avec des équipes médicales locales qui voyagent constamment pour aider un peu partout.  Les docteurs et infirmières sont originaires eux-mêmes de ces régions et connaissent donc parfaitement le territoire.  Ce sont eux qui savent où il y a le plus de besoins  en médicaments et  soins préventifs, où enseigner des  soins de santé  et/ou effectuer des interventions chirurgicales.

Ces médecins avec l’esprit « Doctors on Mission » sont  suffisamment entrainé s et sont mieux équipés que quiconque pour comprendre les besoins et problèmes d’une population  dont ils partagent le langage et la culture, et peuvent ainsi « traduire » efficacement l’ensemble pour une aide aussi efficiente que possible.

2 / Travailler à l’intérieur du pays, là où les besoins sont les plus grands et où l’aide ne vient pas. En effet, les grandes organisations (Médecins sans Frontières, Croix Rouge, etc…) restent presque toujours  dans et autour des grands centres urbains (soit Port-au-Prince en Haïti, soit La Paz ou Sta. Cruz en Bolivie, soit Islamabad dans le Nord du Pakistan.  De ce fait ces grandes organisations ne couvrent que 10% de la surface de ces pays

3 / Apporter des médicaments qui sauvent des vies, apprendre comment prévenir les maladies et mettre sur pied la création d’un réseau de santé structuré – si possible – en coopération avec le gouvernement local (Haïti et la Bolivie).

4 / Le plus grand besoin de « Médecins en Mission » ou « Doctors On Mission » n’est pas le manque de personnel médical.   Les équipes médicales locales ne demandent rien d’autre que de pouvoir aller dans les villages ou régions où il y a un grand besoin d’aide. Ils travaillent pour un salaire (plutôt une offrande) qui n’atteint pas les 4% d’un salaire de médecin occidental. La plupart des médecins et des infirmières locales sont des jeunes  qui – poussés par leur idéalisme – sont toujours prêts pour partir aider dès qu’ils ont des médicaments et du transport (Jeeps 4*4 ; moteurs, etc..). Ils sont formés sur place par des médecins spécialistes étrangers qui séjournent régulièrement chez eux (parfois pendant un an ou plus) ou par Dr. Rik lui-même qui travaille toute l’année dans tous ces pays avec des visites périodiques dans ces centres.

L’aide structurelle est effectuée par l’établissement d’une « base principale de mission médicale » dans le noyau d’une région pauvre. Cela peut aussi être accompagné – si c’est nécessaire – par l’installation d’un orphelinat dans la base.

A partir de cette base principale ils vont au Nord, à l’Est, au Sud et à l’Ouest avec leurs ambulances “longue distance” (jeeps qui sont adaptées localement) pour être en mesure de fournir à des enfants ou d’autres personnes qui en ont besoin, des chirurgies meilleures (traumatisme, radiothérapie (cancer), etc.. ou des traitements plus compliqués (cas de méningites, tuberculoses, la lèpre, chimiothérapie, maladies tropicales compliquées, etc…) . Ainsi, ils couvrent un rayon de plusieurs centaines de kilomètres autour de leurs bases médicales principales.

Parfois, ils se déplacent avec des bateaux (rivière Amazon, Bolivie) utilisant des moteurs (Artibonite, Haïti) ou des chevaux (vallées de la Bolivie). Parfois, ils vont même à pied pendant de longues heures (jusqu’à 15 heures, Bolivie andine) pour parvenir à des communautés oubliées.

Si l’argent est disponible, ils fournissent aussi des bases “Satellites» qui sont principalement des « centres médicaux » et qui sont connectés avec la base principale par des moyens de communication à distance (radios USB, téléphone, etc.)

De cette façon tous les domaines de la santé dans une certaine région sont couverts.

Pour éviter la corruption Ils travaillent principalement avec les églises locales indigènes.

Le VRAI grand besoin de médecins en mission est d’ordre économique (Nolan, could you link this with the donation page) parce que les médecins autochtones ne sont pas payés par le gouvernement mais  sont dépendants  des donations. Ils sont responsables de  milliers d’orphelins ou enfants de familles extrêmement pauvres. Ainsi, des milliers de médicaments doivent être fournis mensuellement. Aucun de ces enfants ou de ces familles n’ont une assurance médicale. C’est vraiment du 0.0 %!

La mission doit aussi financer des études de laboratoire, des chirurgies ou des traitements médicaux complexes faites dans les hôpitaux des centres urbains.  En effet, ces gens très pauvres sont parfois transportés  pendant des centaines de kilomètres avec les ambulances « longue distance » vers l’une ou l’autre ville quand cela est possible.

Quelques questions fréquemment posée:

OU  PEUVENT-ILS ACHETER  LEURS  MEDICAMENTS ?

Médecins en Mission – qui travaille depuis plus de 20 ans (1990) – a une très mauvaise expérience avec les envois par conteneurs entiers, que ce soit avec des médicaments, des vêtements ou de la nourriture, …. Un exemple : l’importations des derniers conteneurs en Bolivie (2003-2004) a couté  plusieurs milliers d’euros et a pris des mois et des mois de paperasserie, ce qui met   une charge supplémentaire sur le dos de l’équipe médical qui doit s’occuper de papiers et passer son temps dans les administrations  au lieu d’être sur le terrain, là où les gens ont besoin d’eux.

L’origine de tout cela est souvent la corruption dans le pays local.

Médecins en Mission peuvent aussi s’approvisionner dans les stocks de médicaments de Salut Mondiale de Santé qui sont mis en place dans les principales villes de presque tous les pays pauvres dans le monde, p.e. Port-au-Prince en Haiti, soit La Paz ou Sta. Cruz en Bolivie, soit Islamabad ou Lahore au Pakistan.

Ainsi, ils peuvent acheter par exemple des grandes quantités d’antibiotiques (500 jusqu’a 1.000 !) pour seulement 20 à 40 euros. Et tout cela sans aucun frais administratif.

COMMENT PUIS-JE AIDER :

L’établissement des bases médicales principales, la création des équipes médicales locales et l’installation  de bases médicales satellites dans les régions très pauvres peuvent vous sembler une œuvre impossible.

Mais quand vous donnez un tout petit peu d’argent (Nolan, can you link the underligned sentence with the European “donate” page please!)   vous aidez des gens qui vivent une vie beaucoup moins confortable que la vôtre…. Vous êtes en train de soulager les souffrances des enfants oubliés, et vous êtes en train de créer un nouvel espoir dans beaucoup d’esprits.

Vous-mêmes, vous pouvez  prendre part à cette œuvre et devenir un grand espoir pour les peuples qui souffrent trop. Docteurs en Mission (Doctors On Mission) apprécie beaucoup vos aides mensuelles (link with donation page please) ; même si elles ne sont pas grandes à vos yeux. Cela pourra nous aider à budgéter correctement nos actions dans le futur.

En 2011, nous avons aidé plus de 100.000 victimes de désastres et de pauvreté.

Notre dernier calcul nous a montré que vous pouvez faire une donation très valable en ne donnant que  5 Euro par mois.  Ces 5 euros permettent de traiter 1 enfant et de lui sauver la vie le cas échéant.

Si par exemple vous décideiez  de mettre 1 Euro par jour dans cette mission, (= 30 euros par mois)  vous pouriez aider à nourrir les pauvres, guérir les malades et sauver 72 enfants par an !!!

Vous pouvez  aller maintenant à la page de « Donation » (Nolan, can you please link « le page de donation » with European donations).

Vous pouvez faire une  donation par Paypal, ou organiser une domiciliation avec Paypal, ou faire un transfert avec Carte  Visa.

Tu peux faire aussi un transfert sur le numéro de compte de Doctors On Mission:

Doctors on Mission – Belgique:
vzw Doctors on Mission
Belfius bank 552-3280600-11
IBAN : BE30-5523-2806-0011
BIC (SWIFT code) : GKCCBEBB

Toutes les donations sont fiscalement déductibles (à partir de 40 euros).  Nous n’avons pas de frais administratifs et toutes les donations sont utilisées à 100 % pour des soins. Vous  recevrez 4 ou 5 fois pour an un « newsletter »  par email, écrit  par Dr. Rik Celie, de façon à vous permettre de suivre à distance ce qui se passe sur le terrain.

Si vous voulez prendre part à  cette mission, vous pourrez toujours communiquer avec Dr. Rik Celie via son email DrRik@DoctorsOnMission.org .

Dr. Celie suit toute  l’administration et travaille comme médecin à temps plein dans tous ces pays.

Parfois il guide des projets de chirurgie soit dans les pays cités, soit en Belgique comme p.e. après le tremblement de terre en Haïti (2011). Soit lui, soit des médecins spécialistes occidentaux  donnent de l’enseignement complémentaire au personnel médical  local.

Si vous le voulez, vous pouvez le contacter à l’adresse suivante :   DrRik@DoctorsOnMission.org

Si vous souhaitez de recevoir notre bulletin trimestériel  par e-mail, veuillez nous informer de votre adresse e-mail sur notre site internet, puisque c’est le seul moyen(en ligne) pour vous informer en permanence concernant le travail (aussi via le site lui-même, Facebook, etc …)

Doctors On Mission est un mission qui n’a jamais cessé d’aider et de travailler avec des équipes locales.

Les équipes locales sont prêtes à aider, mais ils dépendent de vous pour pouvoir continuer avec leurs actions dans ces régions.

S’il vous plait, voyez aussi notre galerie de photos qui parlent d’elles – mêmes.

Une parole personnelle de Dr. Rik :

Moi, Dr. Celie, vous assure de la joie que vous sentirez de pouvoir faire parte de cette mission si vous aidez ceux qui ne savaient plus comment s’aider eux-mêmes.

Je vous demande s’il vous plait d’aller à https://doctorsonmission.org/take-action/dm-challenge/  pour écouter le témoignage de Celine, une fille de 9 ans. Elle était cachée dans une misérable cabane, derrière la maison de la famille, dans une montagne d’Haiti. Elle avait un visage de monstre. L’equipe de Dr. Rik l’a rencontrée  et elle a été envoyée  en Belgique où  Dr. Rik Celie ensemble avec Dr. Luc Cesteleyn ont fait gratuitement une grande reconstruction de son visage. Depuis Celine a pris une décision : elle voulait d’abord apprendre à lire et à écrire pour ensuite se former comme infirmière pour aider Docteurs On Mission.

Êtes vous prêt vous aussi pour prendre une decision?

Avec beaucoup d’amour,

Dr. Rik Celie

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25 juillet
Nouvelles: Août
Chers amis,
Voici une mise à jour sur le travail de la mission que j’ai récemment accompli en Bolivie. Comme toujours, il y avait beaucoup de travail à faire …
Bonnes nouvelles: nous avons finalement été en mesure de terminer la maison du Dr. Ino et sa famille sur notre base de mission dans le sud de la Bolivie. Cette maison sera aussi une maison d’hôtes. En fin de compte, il n’a pas été facile à fournir de l’électricité, de l’eau et un bon système de drainage dans ce lieu éloigné dans les montagnes, à environ 5.600 pieds au-dessus du niveau de la mer.
Vous vous souviendrez certainement que nous avons inauguré notre centre médical sur cette base de mission il ya environ 1,5 ans. Grâce à la présence de Dr. Ino dans la base, tous les patients seront assurés de recevoir une assistance médicale permanente dans le cas où les cas d’urgence se présentent.
Nous avons travaillé depuis 1996 (18 ans!) avec le Dr. Ino. Il est l’actuel directeur de la Mission Médicale Bolivienne. Lui et sa femme ont trois enfants: Paola, Eric et Sarah. Paola est en train de faire sa troisième année en pharmacologie dans une université locale et Eric vient de commencer sa 1ère année de médecine.
Cela apporte heureusement aussi la fin d’un bail de 10 ans pour une grande maison louée pour la famille et les bénévoles de notre mission. La maison était grande parce que tous les bénévoles avaient besoin d’y loger (y compris moi-même), ainsi que pour stocker du matériel médical et des médicaments pour nos évangélisations en cours.
Le dernier obstacle était une maladie grave de Dr. Ino … Quand nous sommes revenus d’une expédition médicale en Amazonie, il a contracté la dengue. La dengue est une maladie tropicale infectieuse, qui est causée par le virus de la dengue. Les symptômes comprennent une forte fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, des douleurs articulaires et une éruption cutanée caractéristique qui est similaire à la rougeole. Parfois, la maladie se développe en une hémorragie interne menaçant la vie en raison de plaquettes sanguines affaiblis. Cela peut aussi provoquer une émoragie de plasma sanguin avec une dangereuse baisse de la pression artérielle (syndrome de choc de la dengue). Le pire est que l’on peut littéralement saigner à mort à l’intérieur. Mais – Dieu merci – Dr. Ino se remet bien en ce moment. La maladie est transmise par plusieurs espèces de moustiques du genre Aedes, principalement par A. aegypt (le moustique de la dengue).
La maladie se trouve principalement en Amérique du Sud et en Afrique, mais aussi en Inde et au Pakistan. Nous avons eu plus de 30.000 cas de dengue dans l’Amazonie bolivienne lors des inondations en 2008. Il y avait aussi des dizaines de milliers de cas de dengue au cours des inondations dans le nord du Pakistan, situé au pied du versant ouest de l’Himalaya (2010 – 2011). Les scientifiques n’ont toujours pas mis au point un vaccin contre le virus.
Dieu merci, je suis épargné par cette maladie, mais je suis revenu d’Amérique du Sud avec des problèmes abdominaux aigus. Les médecins et moi-même qui me suivaient craignaient une rechute (15% de probabilité) de ma maladie l’année dernière et je fût immédiatement envoyé à l’urgence quand je suis arrivé en Floride. Mais encore une fois, merci à Dieu que l’échographie, les tests sanguins, etc. n’ont pas montrés une rechute mais seulement les symptômes d’une gastro-entérite virale aiguë.
De retour en Bolivie .. Nous avons effectué des expéditions médicales dans la partie sud-est du pays, près de la frontière avec le Brésil (Bassin de l’Amazone). Notre présence a été une grande bénédiction pour beaucoup, car il n’y a normalement pas d’aide médicale ou pastorale dans ces régions. Nous sommes aussi allés à notre base de Santa Ana de Yacuma dans le nord-est de la Bolivie, dans l’Amazonie. Vous vous souvenez, nous avons connu à Santa Ana de Yacuma-toutes sortes de menaces pour extorsion de fonds par des familles liées à la mafia de drogue local. C’est la raison pour laquelle nous sommes maintenant plus actif à la frontière sud avec le Brésil et beaucoup moins dans les régions du nord (Santa Anna). Par la présente, nous restons à une distance de sécurité, étant donné que nous parlons de centaines de miles …
Notre équipe était capable de faire beaucoup de travail clinique. Dr. Betsabe continue de travailler à partir de notre base dans les Andes et sort avec une équipe étrangère pour atteindre les régions montagneuses (13.000 pieds de haut) autour d’Ocuri et de Ravelo dans l’État de Potosi. Dr. Oscar travaille toujours à la clinique que nous avons créé dans Paichu (à 9000 pieds). Nous remercions Dieu qu’il est maintenant payée par l’État bolivien.
Et l’interne, le Dr. Hugo, avec qui nous avons travaillé depuis qu’il était encore étudiant (il ya 15 ans), travaille à notre Medical Center dans le sud de la Bolivie avec le Dr. Esther et le Dr. Ino.
Aussi pasteur Romulo se sent très chanceux d’avoir enfin reconstruit son église. Sa vieille église, faite avec “des briques de boue,” n’a pas survécu à un important glissement de terrain dans la cordillère de Madinga (située à 1.000 pieds de haut).
En Haïti, nous continuons d’être contesté … Nos deux cliniques dans Manceaux et Morency continuent de travailler avec un minimum de médicaments et nous sommes à peine en mesure de fournir la nourriture nécessaire à tous les orphelins. Malgré une promotion qui couvre plusieurs niveaux et avoir commencer un projet avec le financement de Crown Funding, nous n’avons pas reçus l’argent dont nous avions besoin pour commencer à construire un abri pour les orphelins haïtiens.
Ceci est bien sûr tout à fait décourageant et frustrant … Nous voulons fournir un abri et de la scolarisation pour arriver à donner de l’espoir dans une région où il n’y a pas d’espoir du tout. Manceaux et Morency sont vraiment des régions parmis les plus pauvres et les pires ou j’ai été témoigner au cours des 24 ans.
Au Pakistan, ça ne va pas beaucoup mieux … Il ya tout simplement de trop nombreux cas individuels nécessitant des soins médicaux d’urgence ou une intervention chirurgicale. Dans le même temps, la sécheresse dans la région du Sindh a causé d’innombrables décès en particulier chez les nourrissons et les enfants (déshydratation). En plus de cette région pauvre et sinistrée, il faut aussi faire face à des dangers et des menaces de groupes musulmans extrémistes constants ainsi que la lutte entre les nombreux petits ministères chrétiens qui ont besoin d’obtenir de l’argent pour aider les autres.
Maintenant, je me rendrai en Californie pour aller parler dans une église. Je rencontrai le pasteur de cette église avec un aîné lors d’une mission en Haïti il ya environ 2 ans. Ensuite, je suis invité par WME (World Missionary Evangelization) pour parler des missions médicales dans le 21ème siècle. Et à partir de là, je vais aller dans mon pays d’origine, la Belgique, et également aux Pays-Bas, pour assister dans les églises et à assister à une conférence importante.
Si vous, votre église ou amis êtes intéressé à voir un beau diaporama et entendre mon témoignage, s’il vous plaît, n’hésitez pas à me contacter par courriel sur l’adresse RikCelie@gmail.com ou DrRik@DoctorsOnMission.org. Nous pouvons trouver une occasion de se réunir. Je cherche des églises ou des groupes qui sont vraiment intéressés à engager à aider davantage notre mission.
Merci et que Dieu à vous bénisse!
Rik et toutes les équipes DM.

21 mai
Nouvelles: Mai 2014
Le bulletin de mise à jour
Chers amis,
Le temps passe si vite … Dans mon bulletin précédent, je parlais des circonstances dramatiques et les conséquences du super typhon Hayan quand je travaillais aux Philippines pour aider un missionnaire sur plusieurs îles où aucun professionnels de la santé étaient arrivés. La reconstruction se poursuit encore là-bas. Beaucoup de gens ont oublié les conséquences avec des milliers et des milliers de personnes qui attendent dans des camps de réfugiés alors que les maladies tropicales ont commencé à faire des ravages encore plus grands. Je devais revenir à Haïti: une autre île ou à la suite d’un tremblement de terre, une épidémie de choléra et l’ouragan Sandy a eu lieu au cours des dernières années sur cette île qui est déjà extrêmement pauvre.
L’équipe était en attente de mon retour. Les médicaments ont été préparés et livrés à nos deux cliniques à l’intérieur d’Haïti. Nous pourrions acheter un stock initial de médicaments pour chaque centre. Ces stocks ne sont pas les stocks disponibles localement! Ils s’épuisent tous les jours et ne peuvent être reconstituées à l’extérieur de la région. Nous ne pouvons pas compter sur les populations locales pour payer ne serait-ce que pour un minimum de leurs médicaments étant donné que nous avons choisi de travailler avec les plus pauvres des pauvres à l’intérieur du pays haïtien. Nous sommes également à la recherche des fonds nécessaires pour soutenir une infirmière dans chaque clinique qui sera en mesure de prendre soin des nécessiteux sur une base quotidienne et prendre contact avec Port-au-Prince si une autre assistance médicale est nécessaire.
Il était temps de passer à autre chose avec nos expéditions médicales / pastorales pour atteindre les orphelins et les enfants extrêmement pauvres dans les endroits où nous travaillons. Ils avaient besoin de notre aide physique et spirituelle.
Notre voyage a commencé de nouveau avec des problèmes majeurs en raison de défauts de notre vieille 4 x 4 Toyota Land Cruiser. Nous pouvions résoudre le problème et continuer pour atteindre Manceau dans le Nord-Est et Morency dans le coin sud-ouest de l’île.
dm-2 Nous nous rendions d’abord à la région montagneuse dans Manceaux, de l’Artibonite. Là-bas, il n’y a pas d’électricité, pas d’Internet et pas de contact avec le monde extérieur. Je suis le premier homme «blanc» qui y est venu. Il n’y a pas de système éducatif non plus … Pourtant, quelques-uns ont appris à lire et à écrire principalement grâce à quelques personnes locales qui leur ont appris dans l’église locale.
Ceci est l’endroit où les médecins en mission ont aidé le pasteur de Saint-Louis pour rembourser la dette de son église. Cette action a sauvé le pasteur de plusieurs années de prison dans des circonstances terribles qui était seulement à quelques jours de se produire. Le pasteur préfère utiliser le peu d’argent qu’il avait pour nourrir les orphelins au lieu de payer son hypothèque.
Il est bon de savoir que tout le monde a maintenant des vêtements et un repas par jour, mais nous ne pouvions pas atteindre notre objectif pour avoir un logement pour eux. La vision est là. Les plans sont clairs. Pourtant, nous aurons besoin de chercher de nouvelles orientations et allons procéder étape par étape, en attendant la provision divine pour créer un bel endroit là-bas.
Notre travail de clinique était maintenant beaucoup plus organisé maintenant que les médicaments était déjà là. Nous pouvions a présent travailler dans des chambres. Ainsi, pour la première fois, je n’ai pas eu besoin de m’asseoir dehors pour voir mes patients.
A Manceau je vécu un moment très agréable où de nombreux enfants étaient debout autour de moi devant une cabane délabrée. Ils ont commencé à chanter spontanément deux belles chansons a cappella. Dans leur chanson, ils ont remercié Dieu pour l’aide qui était venu à eux. Vous pouvez voir cette vidéo et de nombreuses photos d’Haïti sur Facebook par la recherche sur “Rik Celie» ou «Médecins en mission» et puis faites défiler vers le bas.
Un très long voyage en voiture nous a alors amenés en dehors des montagnes de Morency où nous avions un travail similaire. Cela peut également être vu sur Facebook. Les enfants de Morency sont reconnaissables à leurs uniformes jaunes. Certaines personnes ont fait ces vêtements pour eux. La situation est plus ou moins le même que dans Manceau. Il n’y a pas d’abris et pas de services publics ou des installations qui rendraient leur vie un peu plus supportable. Les températures sont très élevées et vont rapidement vers le haut à 100 degrés Fahrenheit ou plus.
C’était merveilleux de revoir tous ses enfants à nouveau. Maintenant ils ont l’air beaucoup plus sain, ont des vêtements et nous essayons de leur donner leur nourriture quotidienne. Dieu merci que nous avons maintenant en cet endroit une petite clinique et les médicaments nécéssaires. Cela nous permet de travailler mieux et nous sommes plus efficacement organisée.
dm-3 J’ai observée dans les deux régions que les attentes envers Doctors on Mission sont élevés. Les populations locales veulent vraiment changer leurs communautés pour être un meilleur endroit où vivre. Même si nous avions de l’argent, ce serait un grand défi pour amener les matériaux nécessaires dans ses régions car ils sont très difficiles d’accès.
Les besoins dans toutes les parties intérieurs sont si élevés qu’il est difficile d’y croire. Nous espérons être en mesure de compter sur plus de contributions mensuelles pour mettre en place de meilleurs budgets pour aider les nécessiteux.
Pendant ce temps, l’infirmière Zephir, une infirmière de notre équipe de DM a eu une intervention réussie. Elle a été récemment marié, est tombée enceinte, mais le fœtus était mort dans son ventre et elle avait besoin d’une intervention urgente pour sauver sa propre vie. Zephir a fait partie de l’équipe depuis 2010.
Dans le même temps, j’ai été interpellé par un grand nombre de problèmes au Pakistan. Toutefois, de nombreux cas graves de groupes minoritaires ont reçu une aide vitale. Nous soutenons maintenant des études de deux infirmières chrétiennes pakistanaises. Les coûts supplémentaires sont élevés parce qu’ils sont chrétiens et non musulmans.
Il y a aussi une grave famine en cours dans le Tharparkar (province du Sind). Des dizaines d’enfants avaient déjà trouvé la mort en raison d’une grave sécheresse qui y règne. Nous y avons envoyé notre équipe et avons pu être une bénédiction pour beaucoup.
Dans le prochain bulletin, je vais parler plus sur la Bolivie, ma prochaine mission.
Pour plus d’informations, visitez notre site Web www.DoctorsOnMission.org
Merci à tous pour vos prières et votre aide!
Rik et tous les membres de l’équipe de DM.

15 février
Nouvelles: Février 2014
Le bulletin de mise à jour
Chers amis,
Le travail en Bolivie:
Nous venions juste de terminer une expédition médicale dans l’Amazonie bolivienne. Puis nous sommes allés à la Cordillère des Andes du Sud, ou le Dr. Oscar est toujours en activité dans la clinique que nous avons construit à Paichu. Nous avons visité et apporté notre aide à tous les villages environnants.
Une aide pastorale a été constamment apportée lors des services du soir. Nous avons contribué à construire cette église il ya plus de 10 ans. Toute la région a pris vie et vient de recevoir l’attention du gouvernement bolivien qui contribue maintenant aussi puis qu’ils paient pour certains de nos dépenses. Dans le même temps, de l’autre côté de la Cordillère des Andes à environ 30 heures de route, le pasteur Romulo (mon guide lors de mes premières années) était en mesure de reconstruire son église qui avait été détruite en 2013 a cause d’un (petit) tremblement de terre.
Le 8 Novembre, je trouvais des logements dans les quartiers de la servante dans la maison du Dr. Ino … Rien pour moi! Mais la chose principale était que j’avais Internet et pu suivre les équipes haïtiennes et pakistanaises après l’expédition de l’Amazonie et des Andes.
Parfois, mon signal Internet ou l’envoi d’e-mails était très lent, mais généralement l’Internet fonctionnait. Le Dr. Ino et moi-même préparaient une expédition finale dans la région du sud de la Bolivie en Guaranie près de la frontière paraguayenne.
L’intention d’aller aux Philippines:
J’ai reçu soudainement dans cette petite chambre tous types de messages concernant la catastrophe aux Philippines alors que le typhon Haiyan était sur son chemin. Vous savez tout là dessus puisque c’est passé dans tous les journaux.
Je suivais l’équipe B-Fast belge de loin pour voir comment ils réagiraient. A cette époque, j’avais pas la moindre idée que je serais impliqué dans tout celà. J’avais travaillé ensemble avec B-Fast pendant le tremblement de terre en Haïti (janvier 2010) et les avait emmenés à l’orphelinat de mon ami, Johan Smoorenburg, qui est un missionnaire hollandais et dirige la mission “Hearts for Haiti” (Coeurs pour Haïti) à Port-Au -Prince. B-fast est l’équipe d’urgence officiel de Belgique et ils ont laissé plus de 25.000 euros en médicaments pour “Coeurs de Haïti.”
Je ne comptais pas aller du tout! Je collectionne toujours autant d’information que possible, cherche Dieu en tout et essaie de prendre la bonne décision au bon moment. Parfois, ils doivent être prises rapidement, mais je suis habitué à cela. Puis, j’ai eu soudainement un contact avec WME, un ministère, que j’ai rejoint il ya des années. Ils ont des centaines de missionnaires, mais même pour eux, je dois être plus qu’un «spécimen rare” étant un missionnaire à temps plein de MD.
WME a également des missionnaires en Asie du Sud et l’un d’eux fait un excellent travail sur Bantayan Island et les îles environnantes. L’œil du typhon passait sur Bantanyan après avoir frappé sur l’île de Leyte Tacloban. Missionnaire Clint Taylor était dans le besoin. Il n’y avait pas de soins médicaux sur l’île nullepart!
Avec CNN et d’autres médias, la quasi-totalité de l’aide est allé à Tacloban sur l’île de Leyte où il y avait évidemment un grand besoin et une grande destruction. Mais en dehors de l’île de Leyte, il ya 7106 autres îles des Philippines! Les mille premières îles ont une population combinée de 100 millions! La question a été rapide: pourrais-je faire quelque chose? Je me suis entretenu avec le Dr. Ino, notre directeur bolivien local. Il continuerait le travail seul et a même été d’une grande aide pour m’aider à remplir un énorme vieux sac à dos plein de bandages, des médicaments et des instruments médicaux. J’ai fait quelques check-up rapide pour voir si j’était assez en forme en raison d’une maladie dont je souffrais l’été dernier en Europe. J’avais juste une fréquence cardiaque élevée restante de cette condition de santé, mais il était régulier.
WME a fait don des fonds pour les frais de déplacement et certains médicaments et 48 heures plus tard (temps d’attente de l’aéroport inclus), je me tenais sur l’aéroport de l’île de Cebu … avec un décalage horaire de 14 heures.
Les vents ont atteint une vitesse de 314 kilomètres par heure et donc ce Typhoon ira dans l’histoire comme l’une des vitesses de vent les plus élevées jamais enregistrées. Vous ne pouvez pas croire ce qu’une telle tempête peut faire, même si vous l’avez vu tous à la télévision. Vous devez rester là, être entouré par des gens qui sont en train de paniquer et devez sentir les corps qui sentent la mort et qui sont répendus là depuis des jours à des températures supérieures à 100 degrés Fahrenheit.
En comparaison, lorsque je travaillais lors du tremblement de terre d’Haïti et l’ouragan Sandy (fin 2012) dans le sud de Haïti c’était super! 70% à 80% de ce qui était dans l’œil du cyclone a été complètement détruit. Personnellement, j’ai promis de ne pas mettre en place les équipes nationales de suivi dans les Philippines, en raison des coûts élevés que cela implique et les grands besoins que nous avons en tant que mission avec le travail que nous faisons déjà.
Faire un don en ligne
En arrivant aux Philippines:
Donc, après ce Voyage de 48 heures et le décalage horaire de 14 heures, je me suis reposé quelques heures, puis nous sommes allés d’abord acheter des milliers de médicaments en plus dans une pharmacie locale avec seulement $ 2000 et je suis allé à l’île du Nord de Cebu qui était déjà sérieusement endommagé.
Là, nous sommes montés sur un de ces bateaux où – entendre les paroles de Clint – des centaines de Philippins perdent leur vie dans l’océan à cause de bateaux surchargés et mal équipés. Nous sommes arrivés ensuite à l’île Bantanyan. C’était située littéralement dans les yeux de cet énorme typhon.
La situation sur l’île Bantanyan et les îles avoisinantes mineures était terrible! Il y avait une grande destruction de toutes les maisons en bois. Même les maisons en béton et en pierre ont été emportés. Cela ressemblait vraiment comme le tremblement de terre en Haïti, mais pas aussi grave que le tremblement de terre en Haïti. Après tout, il y avait «seulement» 5500 décès (environ) aux Philippines tandis qu’en Haïti, ils ne savent toujours pas si il y avait 243 000 ou 255 000 décès. Une différence de 12 000 et personne ne connaît plus le nombre exact! Imaginez, 85 fois le nombre de morts dans les Twin Towers.
Le grand, besoin de continuer dans les Philippines:
Mais les vrais problèmes médicaux sont les dizaines de milliers de personnes qui restent gravement blessés et des dizaines de milliers de personnes qui n’ont pas de maison et plus encore dans des camps de réfugiés, etc. D’après mes calculs, en cas de catastrophes de ce genre, il ya toujours entre 1,5 à 2 fois plus de personnes grièvement blessé par rapport à la quantité de décès.
Le gros problème sont les épidémies qui se déclarent longtemps après que les équipes de secours sont parties et «les dernières nouvelles» sont devenu «de vieilles nouvelles». Vous avez alors le choléra, les diarrhées, pneumonies et toutes sortes de maladies tropicales qui prennent le dessus à cause des mauvaises conditions d’hygiène dans les camps, en raison de la malnutrition ou parce qu’ils sont tout simplement pas accessibles … et comme d’habitude … le gouvernement local ne réagit pas non plus … ou ils réagissent très lentement. J’ai reçu tellement de nombreux courriels après la mendicité pour recevoir plus d’aide, nous avons aidé certains, mais ne pouvaient pas tenir … J’ai même peur pour leur demander comment ils font, parce que je suis certain qu’ils vont tous recommencer à mendier pour de l’aide.
Surtout les bébés, mais les enfants et les jeunes (souvent enceintes), les femmes sont un grand défi. Et nous avons même pas commencé à parler de tout le traumatisme psychologique que de telles catastrophes provoquent. Il suffit de regarder dans les yeux “vides” des enfants pour vous faire réaliser que ces problèmes ne peuvent être résolus en 10 jours …
Quoi qu’il en soit, nous avons fait ce que nous pouvions, aidé de nombreuses personnes et a apporté un sourire à de nombreux enfants et de leur donner un nouvel espoir en proclamant l’Evangile. Nous sommes même allés à la prison locale où beaucoup vivent dans des conditions terribles, mais nous avons été bien accueillis et Clint est allé à l’intérieur pour donner le message.
Nous sommes passés d’un village à l’autre et nous avons vu environ 100 patients par jour! Les gens ont eu l’espoir et la Bonne Nouvelle. Je me sentais comme surnaturellement habilité et j’ai continué, même quand j’était seul avec toutes les questions médicales. Ce doit être l’adrénaline qui vous maintient dans une telle situation …
Et au moins, nous avons un lit et deux heures d’électricité (via un générateur) tard dans la nuit pour contacter le monde extérieur, ce qui n’a pas été le cas dans les premiers jours du tremblement de terre en Haïti ou même maintenant à l’intérieur d’Haïti.
Ce qui m’a frappé le plus était que je ne rencontre pas même un autre MD sur toute l’île (population de plus de 136 000) -pas un étranger, ni un médecin philippin! Seule une infirmière, qui était la fille d’un pasteur local, a été en mesure de me aider, mais seulement à un seul endroit. Il me fallait donc mettre en place encore et encore ma propre équipe et essayé de choisir les plus malins qui comprenait l’anglais et savaient lire et écrire bien surtout la jeune génération. Je leur ai appris à prendre la pression artérielle, noter les noms et les symptômes et me les transmettre à moi. D’autres personnes de confiance ont été autorisés à compter et donner les médicaments nécessaires. Et quand j’était perplexe, je me suis senti chanceux d’avoir mon iPad où tous mes livres médicaux sont disponibles.
Faire un don en ligne
En manque de médicaments:
Toute la préparation dans un certain village pris seulement 20-30 minutes et puis je mettait mon équipe sur le feu pour le travail, mais soudain, je suis tombé sans médicaments!
Alors j’ai trouvé une église où les gens me disaient que certaines boîtes étaient arrivés et qu’ils pensaient que ceux-ci étaient probablement des médicaments. Je ne pouvais pas le croire au premier abord. Qui envoie des boîtes de médicaments sans être certain qu’il ya un docteur? Mais c’était vrai! Ces boîtes ont été simplement placé là … et il y en avait beaucoup … Ils ont été envoyés par Compassion International.
Je regardais les boîtes et venait de dire, “Ouvrez les boîtes et nous allons utiliser tout ce qui est là-dedans!” Et ainsi nous pouvions continuer à travailler jour après jour jusqu’à ce qu’il devienne sombre.
La pire situation en cas de catastrophe, comme moi je le vois, est que toutes les équipes de secours viennent et partent au bout de quelques semaines. Il ya un dicton, “quand CNN quitte tout le monde quitte” … et l’aide tombe à près de zéro.
Maintenant, comme aujourd’hui, il ya des décès quotidiens dus à des maladies tropicales (comme la dengue) et les infections aéroportés communs et diarrhées en raison des mauvaises conditions d’hygiène dans ces camps.
Quand je suis finalement rentré à la maison pour les vacances, je ne suis pas capable de faire quoi que ce soit … Au cours de la période de Noël et du Nouvel An, je passais plus de temps au lit que jamais, mais …. toujours avec le portable parce que surtout N. Pakistan garde mon attention étant donné que les talibans mène une guerre dans la région ou nous travaillons.
Guerre contre les chrétiens au Pakistan:
La guerre a été déclarée contre les chrétiens et tous les groupes minoritaires et même contre les organisations humanitaires telles que l’Organisation mondiale de la santé. L’armée pakistanaise n’est pas en mesure de contrôler les radicaux et ce qu’ils font avec les gens sont au-delà des mots. Nous avons des frères et sœurs chrétiens vivant dans l’extrême pauvreté et la persécution. Nous leur avons envoyé de l’argent régulièrement, mais le besoin est beaucoup plus grand.
Retour à Haïti:
La semaine après avoir assisté à certaines Conférences de mission, je vais aller à l’intérieur d’Haïti où nous avons besoin de l’aide d’urgence dans l’achat de médicaments pour nos cliniques.
La pauvreté est très grave à l’intérieure de Haïti où les enfants meurent de malnutrition, les maladies, choléra, etc. en raison d’un système immunitaire faible.
Le pire est la souffrance des orphelins qui viennent à moi par dizaines: Je suis aller aider 100 orphelins et plus de 200 sont en attente. Comme les fonds arrivent, nous allons aider pour tout ce que nous pouvons. Je ne peux que donner des vêtements et une tasse de riz par jour, mais pour être honnête, je ne sais pas ce que je peux faire pour les aider pour avoir une maison normale. Et oui, ils sont nos petits frères et sœurs dans le Christ.
Que Dieu vous bénisse tous!
Rik
12 janvier
Bolivie mise à jour : Décembre 2013
Bolivie, mise à jour du journal
Chers amis,
Des rumeurs de violence grave au Pakistan sont entré dans ma boîte de réception alors que j’emballage pour aller en Bolivie. Deux kamikazes se sont fait exploser sur un beau dimanche matin dans la plus grande église de Peshawar. Le résultat a été catastrophique: plus de 80 morts et 200 blessés graves.
Peshawar est située près de la frontière de l’Afghanistan. Les attaques ont été immédiatement revendiqué par les talibans comme une protestation contre les attaques des drones américains sur des cachettes des talibans dans la région.
La vie est devenue absolument impossible dans cette région … surtout parmi les millions de chrétiens, le plus grand groupe parmi les groupes minoritaires. Vous pouvez toujours avoir une vue de ce brutal homicide involontaire en cours quand vous allez à notre page Facebook: “Médecins en mission» ou «Rik Celie”.
Considérant les nombreux rapports sur l’immense souffrance, cela ne peut pas nous laisser insensible. Les blessés ont été pour la plupart abandonné ou sont mort – souvent sous peine sévère – de leurs blessures infectées.
Ainsi, nos équipes médicales / pastorales sont sortis pour aider malgré la situation financière difficile de notre mission médicale avec une mission médicale plutôt exigeante et relativement coûteux. Nous espérons qu’il y aura de nouveau des fournitures par notre plan de commandite (voir «DM – Challenge” sur www.DoctorsOnMission.org) pour continuer notre travail.
Il était très dangereux pour les membres de notre équipe pour aller y aider. Cependant, ils ne demandent qu’à voler au secours pour aider; risquant leur propre vie chaque fois que suffisamment de dons arrivent pour organiser une expédition médicale / pastorale.
Pour ces groupes minoritaires, il n’y a pas de plans dans des cas de catastrophe. Le gouvernement musulman ne permet pas … les hôpitaux – dirigées par des musulmans – souvent ne veulent pas les traiter ou on les traite mal. J’ai entendu des histoires sur place comment les musulmans administrent des injections mortelles dans certains de ces «cliniques». Et les musulmans modérés – même qui voudraient aider – ont peur de représailles de leurs propres «frères» fondamentalistes.
Notre “plan d’urgence” auto-conçu est un plan audacieux. Nous sommes allés pour aider autant que possible avec deux équipes par quatre expéditions. Dans le même temps, plusieurs autres bombes – habituellement attentats-suicides – sont partis dans la même ville et région. Il y avait une bombe suicide dans le marché public avec des blessures graves. Ensuite, tous les occupants d’un bus ont été tués. Un bus plein d’enfants … En outre, l’équipe de l’OMS (Organisation mondiale de la santé) a été durement touchée par une bombe de route. Par conséquent, la campagne de vaccination contre la poliomyélite a été stoppée. Le Pakistan est l’un des trois pays au monde où la polio est encore endémique. Les talibans ne permet pas à ces vaccinations et soupçonne les équipes médicales d’un «complot» de l’Occident de vouloir effectuer la stérilisation sur les enfants musulmans! Ces fausses accusations provoquent un risque supplémentaire pour notre équipe … Nous arrivons de plus en plus en ligne de mire …
Malgré tout cela, nous avons pu aider 91 familles qui ont été gravement blessés ou qui avaient des membres de la famille tués. Nous pourrions leur apporter de la nourriture, des médicaments et l’aide pastorale. A ma connaissance, il n’y avait aucune autre aide de l’étranger.
Doctors en mission aide également les cas individuels dans le nord du Pakistan avec l’orientation et le paiement des opérations d’urgence. Un garçon de 14-ans, Raheel, a été opéré avec succès à cause d’une tumeur. En outre, cette région a de nouveau été frappé par de fortes inondations.
En attendant, je suis moi-même allé travaillé en Bolivie. Ici, je poursuis des activités pour promouvoir notre mission. Nous sommes allés pour une aide médicale en Amazonie bolivienne. Là aussi, nous pourrions fournir des soins médicaux et pastorale nécessaire. Il faisait très chaud et on a souffert d’innombrables moustiques et les piqûres d’insectes.
Ensuite, nous sommes allés à notre clinique à Tarija, Sud-Bolivie. La clinique fonctionne très bien là-bas! Nos médecins Ino, Victor Hugo et Ester font ce qu’ils peuvent pour servir les gens qui regardent pour leur aide. Dr Besabe est également engagé à voir tous les jours de nombreux patients pauvres qui viennent à notre base de mission dans les Andes (Yamparaez) sur 500 km. Nord de Tarija.
En ce moment, je suis rentré d’une expédition à Paichu dans la région des Andes. Ici, nous avons commencé il ya près de 10 ans qui forme dans un premier temps les médecins, infirmières et dentistes. La coopération avec les autorités sanitaires locales était tout le temps optimal ici. Un centre médical de soins de santé et une église ont été mis en place. Dr. Ino, Dr. Ester et moi sommes venu pour aider le Dr. Oscar pour couvrir tous les soins de la mère et de l’enfant dans toute la région. Dr. Oscar y vit et y travaille.
Les autorités locales nous ont beaucoup remercié et souligné combien de vies nous avons sauvés grâce à notre médecin(s) et l’utilisation de notre ambulance au cours des dernières années. Tout cela n’a été possible que grâce à vos dons.
En attendant, Pr. l’église Romulo – détruit par un tremblement de terre dans les Andes (Abra K’asa) a été reconstruit grâce à des cadeaux spéciaux pour cette cause. Un premier couple a déjà été marié à l’église, même sans avoir un vrai plancher, fenêtres ou des portes (voir photo).
Dans la prochaine lettre, je reviendrai plus sur Haïti. Mon plan est d’aller à Haïti une fois que la mission en Bolivie est terminé. Cependant, j’ai entendu parler de la tragédie aux Philippines et je suis en contact avec un ami qui est directeur de “Remember the Poor» et aussi de «Médecins pour la Paix”, tous deux situés sur les Philippines. Le ravage semble être énormes et de nombreuses îles touchées n’ont toujours pas été atteint.
Dieu vous bénisse et beaucoup de salutations de …
Rik & tous les membres de l’équipe de DM
30 novembre
Philippines Mise à jour
Mise à jour du journal
J’écris au nom de M. Rik, car il est très occupé en ce moment aux Philippines pour aider avec la catastrophe, de Typhoon Haiyan.
Dr. Rik avait été en Bolivie où il a reçu de nombreuses demandes pour aider dans les Philippines. Grâce à ses contacts avec WME (World Missionary évangélisation), il a pu faire le lien avec les missionnaires locaux. Mes premières pensées ont été que avec toute l’attention et l’aide internationale, que les îles seraient éventuellement beaucoup d’aidés et qu’il devrait probablement rester en Bolivie. J’ai eu tort!
Le principal domaine dans les nouvelles, Tacloban, reçoit la majeure partie de l’aide, mais il ya des milliers d’îles qui peuvent facilement être négligés. À l’heure actuelle, le Dr. Rik est sur une île appelée Bantanyan. Il n’a pas vu le personnel médical là, sauf la fille d’un pasteur, qui est infirmière.
Il a acheté et a apporté avec lui des milliers de dollars en médecine (y compris les vaccins contre le tétanos) et des fournitures médicales, et maintenant il organise des expéditions médicales dans les villages, les églises et même une prison locale. Il traite de nombreuses blessures infectieuses liées aux typhons, mais aussi des problèmes médicaux réguliers. Leur régime alimentaire est pauvre et se traduit par un grand nombre avec l’hypertension artérielle et l’arthrite. Dr. Rik essaie de les éduquer dans ce domaine.
C’est une région éloignée et il ne peut communiquer que pendant quelques heures chaque nuit par email quand un générateur fonctionne . La connexion Internet est mauvaise, donc les seules photos que nous avons sont que quelques-unes qu’il était en mesure de poster sur notre page Facebook (Facebook.com/DoctorsOnMission).
Les conditions sont difficiles (chaleur, isolation, grande pauvreté, tout en étant dans une zone sinistrée), mais heureusement Rik est familier avec ces difficultés de notre travail en Haïti. Doctors on Mission a toujours été dans les zones avec peu ou pas de soins médicaux et c’est certainement pas une exception.
Nous apprécions vos prières et tout soutien financier supplémentaire qui peut être apportée qui à ce moment sera grandement appréciée. Pas tout le monde peut aller, mais pour moi, c’est une joie de pouvoir contribuer pour envoyer des gens comme le Dr. Rik dans des endroits qui ont été largement oubliés.
Paul Duggan
Coordonnateur secrétaire et États-Unis
12 septembre
Chadwick Fondation Mise à jour
Sélection
Fondation Chadwick a conclu un partenariat avec Doctors on Mission (Médecins en mission), qui travaillent dans les limites de Haïti, de la Bolivie, et le Pakistan. Dr Rik Celie nous donne une mise à jour de l’état d’avancement jusqu’à l’automne de 2012. Pour plus d’informations s’il vous plaît visitez ChadwickFoundation.com ou DoctorsOnMission.org
05 septembre
Août Journal – 2013
Mise à jour du journal
Chers amis,
Parfois, je dois retourner à temps pour voir où nous avons laissé notre relation avec la situation du moment concernant tout le travail missionnaire médical que les Doctors on Mission (médecins en mission) font dans l’intérieur profond de la Bolivie, Haïti et au Pakistan. Cela me montre toujours comment le temps passe vite et comment limiter un rapport est de donner un aperçu sur le travail de la mission médicale que nous menons.
Ce que je vois est que je suis “à mi-chemin” à travers mon voyage de mission haïtienne quand je vous ai envoyé une mise à jour. Je suis alors devenu très malade (impliquant Mastoïdite) des montagnes haïtiennes. Une infirmière qui travaille avec Doctors on Mission Haïti avait une tumeur nécessitant le retrait immédiat. Je viens d’avoir assez de temps pour aider mon ami Pasteur Saint-Louis de rester en dehors de la prison parce qu’il ne pouvait pas payer son église. Ceci est dû à l’extrême pauvreté dans la région de l’Artibonite en Haïti.
J’ai également promis d’expliquer notre stratégie supplémentaire en Haïti. Mais je suis sur le point de quitter le point Sud-Ouest loin où l’ouragan avait frappé si violemment et ou la famine et la maladie ont menacés tout le monde dans la région.
Là-bas j’ai adopté 71 enfants. Ces enfants sont pour la plupart des orphelins ou des enfants issus de familles très pauvres. Habituellement, ils se promenaient nus, n’avaient aucune nourriture, des médicaments ou de l’éducation. Beaucoup d’entre eux auraient simplement été laissés ainsi si nous n’avions pas intervenu immédiatement. Malgré les moments difficiles que nous endurons en raison de la récession économique dans l’Ouest nous avons eu d’autre choix que de fournir des vêtements, des soins médicaux, le logement simple et école. Des vêtements et de la nourriture, ils en ont déjà. L’ école est donnée à l’extérieur ou dans une caserne. Pour le logement, nous ne disposons toujours pas d’assez d’argent et beaucoup dorment dans la même (l’école) caserne,.
Le travail médical, il a été intense, mais il est vrai que, lorsque ces personnes sont en bonne santé et ont les nécessités de base, ils sont parmi les gens les plus heureux sur terre. Voilà mon humble avis. Ils n’ont pas vraiment besoin de beaucoup … Avec quelques dollars ou euros par mois – ce qui signifie presque rien pour nous les occidentaux – ils sont des enfants heureux et en bonne santé. Pourquoi? Parce qu’ils ont ensuite la nourriture, des médicaments, vêtements, et peuvent apprendre à lire et à écrire.
On devra probablement faire la même chose avec les 220 enfants de mon ami Pr. Saint-Louis malgré ses propres dettes. Il voulait simplement les garder en vie et leur donner un avenir. Mais pour moi, il est clair que le maintien en vie des centaines de ces enfants n’est plus possible pour ce brave homme.
Maintenant, en un mot, notre stratégie pour Haïti comme je l’avais promis dans ma dernière lettre … Il est très facile de l’expliquer avec des mots, mais pas si facile à réaliser et son développement dépendra beaucoup de vos contributions …
Comme vous le savez probablement déjà, nous travaillons dans deux régions: cinq heures nord-est de Port-au-Prince, dans les montagnes de l’Artibonite et 7 heures sud-ouest de Port-au-Prince, près de l’océan.
Dans la première phase, nous voulons donner à ces enfants, âgés de 1 à 12 ans, de la nourriture, les vêtements, l’éducation, les soins médicaux, l’éducation et aussi un abri. Nous voulons le faire localement en raison des conditions de vie locales bon marché sur place. Une fois qu’ils sont 13 ans, nous voulons les rapprocher des grandes villes. De cette façon, ils seront en mesure d’étudier plus ou d’apprendre un métier.
Nous voulons faire la même chose dans la région des ouragans dans le sud-ouest d’Haïti. Les enfants âgés de 1 à 12 ans resteront dans la région Morency. Nous ferions la même chose avec les enfants de la région voisine, Flamand. Nous pensons qu’il doit être possible de leur donner également au moins un repas par jour, des vêtements, des médicaments, un abri et de la scolarisation. Une fois qu’ils ont 13 ans, ils pourraient alors être transférés à Les Cayes, une grande ville dans le sud-ouest de l’île où il est possible de leur apprendre un métier ou leur faire suivre une étude plus approfondie.
Voilà le plan! Notez que ce plan ne vient pas seulement de moi, mais du peuple eux-mêmes comme la seule option pour leur donner de l’aide structurelle. Tout le reste dépendra de votre partenariat. Sans contributions, nous sommes impuissants là.
La mise en œuvre sera longue. Mais bon, nous avons déjà commencé! Nous sommes établi avec déjà 71 enfants et en ce moment même, nous reconstruisons le poste médical dans l’Artibonite et la fourniture de médicaments.
En outre, l’infirmière de la tumeur a enduré bien son opération. Voir aussi les photos sur Facebook sous la rubrique «Doctors on Mission». Hier, je trouvais que l’autre infirmière, Zephir, avait besoin d’une intervention chirurgicale urgente. Elle a servi Doctors on Mission Haïti depuis plus de trois ans d’une manière désintéressée.
Bolivie: Il est intéressant de déterminer comment nous continuons aussi avec le travail en Bolivie. Nous travaillons actuellement sur la construction de l’église du pasteur Romulo qui a été détruit lors d’un tremblement de terre des Andes. Pastor Romulo a toujours été mon guide “Inca” pour plus de 23 ans. Nous continuons également à la construction de la maison de la famille de M. Ino. Et assez tristement, nous avons connu quelques dégâts d’eau grave dans notre nouvelle clinique dans le sud de Tarija, en Bolivie. Le dernier mile est cependant toujours la «plus longue».
Toutefois, le centre médical dans le sud de la Bolivie fonctionne très bien depuis mai 2013. Il est maintenant l’hiver dans l’hémisphère Sud et dans les montagnes des Andes, cela signifie que c’est la saison sèche. Et oui, même le centre médical de Yamparaez – où nous avons transformé nos bureaux dans un centre médical – fonctionne très bien. Ceci est dû à certains fonds désignés. La plupart des fonds non désignés sont continuellement utilisés pour fournir les soins médicaux grandement nécessaires dans les familles très pauvres.
Pastor Romulo a également une jeep de DM dans le ravin en raison d’une crevaison du pneu avant. Dieu merci, les 6 passagers, y compris son fils âgé de trois ans survécu et n’a pas eu de blessures graves à l’exception d’un passager qui avait besoin d’une intervention chirurgicale assez cher.
Je suis pour l’été en Europe. Comme beaucoup l’ont souligné à juste titre, ce ne sont pas toujours «des vacances» en raison des nombreux contacts que nous devons faire afin de continuer le travail. En outre, la «paperasse» en ligne ne cesse jamais.
Récemment, je suis tombé gravement malade. Dieu merci, ce qui est arrivé en Belgique où j’ai une bonne assurance. Après quatre semaines d’hospitalisation à l’hôpital universitaire de Gand je vais maintenant mieux. Une fois que le pire était passé, je n’avais pas besoin de livres pour lire comme les autres patients, mais j’ai continué dans mon lit d’hôpital le travail en ligne des équipes dans les différents pays.
Pakistan
Comme vous le savez peut-être et / ou le réalisé, le Pakistan est une tâche presque impossible. Nous avons les contacts nécessaires mais entrer est si dangereux et même interdit par la plupart – sinon tous – les ambassades occidentales en raison des meurtres d’infirmières et de médecins principalement étrangers.
Ils ne veulent pas que nous aidons les groupes minoritaires (environ 6 millions de personnes!) Qui sont principalement chrétiens. Même maintenant, on note des attentats du réseau Al-Qaïda et des talibans dans et autour de l’aéroport où je débarque normalement.
Il fait peu de différence au Pakistan a quelle religion vous appartenez effectivement. Tant que vous n’êtes pas un musulman, vous êtes l’ennemi. Même les organisations humanitaires, y compris les équipes de vaccination de l’Organisation mondiale de la santé sont une cible. Les attaques sont généralement fatale.
Les groupes minoritaires avec lesquels nous travaillons ne reçoivent aucune aide du gouvernement musulman, ne peut pas étudier et a besoin de travailler comme des esclaves. Ils sont souvent maltraités et abusés alors qu’ils vivent dans les pires régions comme dans les zones inondées au pied des contreforts occidentaux de l’Himalaya.
Pourtant, nous aidons toujours au cas par cas comme Aksha, l’adolescente qui a été fortement brûlé. Ramish nécessitant une intervention chirurgicale d’urgence ou autres (voir Facebook). Pour être en mesure de poursuivre cela, nous avons désespérément besoin de votre aide!
Des milliers de personnes meurent en ce moment à cause des inondations qui sortent du Tibet, de la faim et d’autres maladies. En ce moment, nous ne sommes pas en mesure d’apporter un soulagement majeur ces dernières années parce que – bien que nous ayons les canaux pour transférer de l’argent au Pakistan – nous manquons de dons supplémentaires pour le faire. Nous comptons sur vos généreuses contributions pour pouvoir continuer aussi cette mission. (cfr. aussi Facebook sous la rubrique «Doctors on Mission» ou «mission doctors»).
Merci pour toute votre aide et que Dieu vous bénisse pour cela!
Rik et toutes les équipes de DM.
31 août
Le défi de DM
Sélection
Avec votre aide, nous pouvons atteindre les millièrs de patients chaque année. Beaucoup d’entre eux sont des veuves et des orphelins. Notre objectif est d’atteindre 100 000 personnes chaque année qui sont plus disposés à nous aider.
La pire situation pour nous est quand une équipe de DM est obligé de rester à la base centrale en raison du manque d’argent pour acheter les médicaments et le transport nécessaire. Vous pouvez éviter cela! Êtes-vous prêt à nous aider? Commencez dès aujourd’hui!
Pour répondre à DM Month Challenge (dons mensuels récurrents), cliquez ci-dessous:

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